22 avril 2006
Sur le pas de sa porte
Ainsi se présentait l’aubaine
Pourtant rien ne permettait
D’espérer qu’elle survienne
Nul moment de réflexion
Aussitôt il se jeta à l’eau
Se posant aucune question
Le Ciel semblait soucieux
On le devinait à peine
La brume s’étant emparée du lieu
Du monotone paysage
Soudain jaillit un château
Tel dans le désert, un mirage
Naturellement, il n’y pénétra
Préférant la chaleur d’un refuge
Dans la forêt non loin de là
Enfin réussit-il à l’atteindre
Il se dit : pourvu qu’elle entende
De timides coups ; la porte s’ouvrit :
« Que puis-je pour toi, cher Ami ? »
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